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  Manoir du Nouvela
  Le Nouvela
  F-81240 Saint-Amans-Soult
  sur rendez-vous uniquement
 
 
 
 
  LA FEMME ET LA MODE
  AU TEMPS DES IMPERSSIONNISTES
  192 pages couleurs - 33 €
 
 
 
  L’apogée du mouvement impressionniste dans les années 1870-1880 
  correspond également aux débuts dela IIIe république, instaurée 
  après la chute du Second Empire et la guerre franco-prussienne. 
  Les artistes impressionnistes qui se voulaient peintres de la modernité 
  ont été sensibles aux modes vestimentaires, autant pour leur aspect 
  esthétiqueque social. Issue de la révolution industrielle, la mode de 
  ses dessous (corsets et tournures) façonne les corps et structure 
  les robes. Bien que cette mode bourgeoise soit largement diffusée 
  grâce aux nouvelles formes de commerce tels que les Grands Magasins, 
  une partie de la société demeure en marge de cette élégance urbaine. 
  Alors que la société accorde toujours une place limitée aux femmes 
  dans l’espace public, les années 1880 permettent cependant d’observer 
  diverses avancées. 
  A travers l’étude de la condition féminine, cet ouvrage trace les 
  portraits d’une vingtaine de pesonnages dans leur vie quotidienne, 
  tels que l’institutrice, la demi-mondaine, l’étudiante en médecine, 
  la peintre ou encore l’épouse d’un président dela République. 
  Une analyse précise de la mode de l’époque et de son évolution 
  dévoile la richesse des garde-robes d’alors, avec des tenues et des 
  accessoires adaptés à toutes les circonstances. Illustré par de 
  nombreux costumes reconstitués ainsi que par des gravures de 
  modes anciennes, ce livre invite également le lecteur à retrouver 
  des scènes que les peintres impressionnistes se sont plu à 
  immortaliser : bord de mer, soirées mondaines, voyage en chemin 
  de fer, ou moments d’intimité. 
 
 
 
 
  LA FEMME
  DU DIRECTOIRE AU PREMIER EMPIRE
  120 pages couleurs - 20 €
 
 
 
  Au sortir de la Révolution française, un vent de liberté souffle sur la 
  société et les moeurs des français. Les Merveilleuses, figures 
  emblêmatiques du Directoire, affichent leur mode de vie, libre jusque 
  dans le costume. La mode rompt alors radicalement avec les pratiques 
  antérieures, libérant le corps de la femme tout en répondant à une 
  nouvelle esthétique. Viennent ensuite le Consulat et l’Empire, qui posent 
  les bases d’un nouvel ordre social, réaffirmant la place de la femme au 
  sein du foyer. Après les tenues légères à l’antique, Bonaparte demande 
  à Joséphine de se couvrir : l’heure est maintenant à la décence. Une fois 
  encore, la mode reflète l’évolution de la société : le statut des femmes, 
  l’hygiène et la beauté, le luxe et l’artisanat, la politique et le commerce -
  quelques thèmes que l’étude du vêtement féminin permet d’aborder.
  Illustré par des costumes reconstitués, des documents et accessoires 
  d’époque, cet ouvrage trace le portrait de personnages aussi divers que 
  la bourgoise, l’artiste, la prostituée, la Merveilleuse ou l’impératrice.
  Nathalie Harran est historienne, créatrice de costumes historiques et 
  collectionneuse. Artisan d’Art, elle a fondé La Dame d’Atours, qui a pour but 
  d’étudier, de conserver et de faire connaître les modes anciennes par le biais 
  d’ouvrages et d’expositions.
 
 
 
 
  LA FEMME
  SOUS LE SECOND EMPIRE
  186 pages - 28 €
 
 
 
  Emblématique du vêtement féminin sous le Second Empire, la crinoline 
  est également un symbole de modernité. Alors que lechemin de fer 
  transporte les voyageurs vers de nouveaux horizons, les idées et les 
  modes se diffusent à un rythme enlevé tout en s’adaptant au mode de 
  vie des femmes. Fruit de la révolution industrielle qui s’épanouit en 
  France sous Napoléon III, la crinoline bénéficie des progrès réalisés 
  dans la fabrication des étoffes, la confection et la diffusion des modes. 
  Merveilleux support pour les robes des grands couturiers, les châles en 
  cachemire et les bijoux, la crinoline est un élément central du faste 
  de la société du Second Empire. Dénoncé par les contemporains 
  comme ruineux et tapageur, le costume féminin participe au creusement 
  des inégalités sociales et à les rendre plus visibles.
  Accessoire indispensable de la femme à la mode, la crinoline contribue, 
  avec le corset, à modeler une silhouette répondant aux attentes 
  esthétiques et sociales du moment. L’avènement d’un mode de vie 
  bourgeois emprisonne la femme dans un carcan rigide et lui assigne 
  un rôle social strictement défini.
  Illustré de nombreux costumes reconstitués, ainsi que d’accessoires 
  et bijoux d’époque, l’ouvrage nous mène des bals aux bains de mer 
  et de l’opéra aux scènes de rue. Il dresse ainsi le portrait de prsonnages 
  aussi divers que la marchande à la toilette, la lavandière, la lionne ou la 
  dame de compagnie de l’impératrice.